Quelle cérémonie ! C’est votre deuxième édition, qu’en avez-vous pensé ?

Il y a très longtemps, Elior organisait une cérémonie appelée Les Camélias, mais elle a disparu il y a quelques années. Depuis l’année dernière, nous découvrons les Bisons d’Or, qui mettent en avant la pluralité des métiers et les collaborateurs du groupe. 
C’est une belle opportunité pour se rencontrer, car on se voit très peu dans l’année. C’est à la fois un moment solennel et convivial, qui construit notre culture d’entreprise, entretient le réseau interne et stimule le développement de nos activités.

Vous étiez sur le podium avec d’anciens collègues ?

Je ne savais pas que j’allais recevoir un trophée et je n’avais pas en tête les récompenses.
J’ai eu la surprise de me retrouver sur le podium avec Isabelle Fourquet (Arpège), avec qui j’ai travaillé il y a quelques années, et Olivier Chevestrier (DR IDF Ansamble), qui a été mon collaborateur chez Ansamble. Je l’avais promu Responsable de secteur, et aujourd’hui, il est Directeur régional. 

Quels sont les éléments qui vous ont permis de décrocher ce Bison d’Or ?

Je ne cours pas après les prix, je cours après les résultats !
Atteindre nos objectifs est essentiel : c’est le nerf de la guerre, mais cela ne s’arrête pas là. Je veux atteindre le budget et challenger pour aller plus loin. On peut toujours faire mieux avec un collectif dynamique. 

Et comment envisagez-vous l’année 2025 pour rester sur le podium ?

Être toujours premier sera sans doute un défi, d’autant que l’année dernière, nous avons bénéficié d’opportunités, comme la signature d’un contrat important, qui nous a permis d’accéder au podium. L'objectif pour 2025, c'est d'être sur le podium. Une fois que l’on a goûté à ce succès et constaté l’impact positif que cela engendre, on veut y rester. Nous allons poursuivre avec les mêmes ingrédients : prendre soin de nos clients et des équipes ; faire de la croissance durable sans accident.